Chemins … de Biber à Yasÿe
Francis Duroy
Violon
Felicia Terpitz
Violon
Manuel Hofer
Alto
Florence Lab
Clavecin
Claudio Pasceri
Violoncelle
JEAN-HENRI D’ANGLEBERT
Prélude non mesuré de la suite n°2 pour clavecin
HEINRICH BIBER
Sonate du Rosaire n°1 l’Annonciation en ré mineur pour violon et basse continue
EUGÈNE YSAŸE
Sonate pour violon seul
JEAN-SÉBASTIEN BACH
Concerto pour clavecin et cordes BWV 1056 en fa mineur
JEAN-SÉBASTIEN BACH
Sarabandes des suites BWV 1007, BWV 1008 et BWV 1011 pour violoncelle seul
JEAN-SÉBASTIEN BACH
Sonate pour violon et clavecin en mi mineur BWV 1017 – Largo
MARIN MARAIS
Sonnerie de Sainte Geneviève des monts de Paris
JEAN-SÉBASTIEN BACH
Aria de la suite n°3 BWV 1068 en ré majeur pour cordes et basse continue
C’est D’Anglebert qui ouvre ce chemin au XVIIème siècle. A la même époque, Biber compose les fameuses sonates du Rosaire qui plus tard inspireront Bach. C’est ensuite Ysaÿe (1858-1931), ce violoniste génial qui enthousiasmait l’Europe musicale qui, inspiré par Bach, nous livre un des ouvrages ultimes de la littérature violonistique. En 1723, Marin Marais, musicien à la cour du Roi Louis XIV, s’inspire des cloches de l’ancienne abbaye Sainte Geneviève pour nous livrer sa célèbre Sonnerie.
Au long de ce chemin, Bach fait le lien. C’est un des airs les plus célèbres de la musique occidentale qu’il écrit dans sa 2ème suite pour cordes. Il est également précurseur des concertos pour clavier d’une impressionnante invention.